3ème

Par Admin Cantelauze, publié le vendredi 14 octobre 2022 11:41 - Mis à jour le lundi 29 janvier 2024 17:21
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Projet 2023-2024 UN ETABLISSEMENT,UNE OEUVRE

Écriture et dessin /dessein

- PARTENARIAT avec Le musée des ABATTOIRS de Toulouse

 

- Travail interdisciplinaire

 

 

Donner forme à une pensée/modeler...Les  MOTS/IMAGES

Ecrire/dire/ressentir construire/détruire/retranscrire

Narration/Mémoire/Histoire.

 

 

 

El Lissitzky (Eliazar Lissitzky, dit)1890 - 1941 N° inv. : 2021.2.65 (10)

Lissitzky pensait que l'avenir des arts résidait dans leur potentiel d'intégration. La fusion du dessin, de la peinture, de la sculpture et de l'architecture est désormais profondément intégrée dans son travail. combiner l'architecture et l'espace tridimensionnel avec images bidimensionnelles traditionnelles, bien qu'abstraites.

Judith Bartolani est née en Israël, où sa famille avait émigré dans les années 1950. Au début des années 1980, sa sculpture puissante, gestuelle, lui vaut d’emblée une reconnaissance internationale ; puis elle abandonne la matière et travaille, en association avec Claude Caillol, à des œuvres conceptuelles, engagées politiquement et polémiques.  Ce retour à la sculpture par le livre, le texte, mais aussi par l’informe;un livre de contes, chargé de mots, de pastels, de biffures, habité par la présence d’une jeune fille, Sara, qui raconte sa vie, « de fait une multitude d’histoires, et dont le prénom est comme un tatouage ». L’ouvrage devient une sculpture, enserrée d’un roncier de mots, et une installation vidéo :" Les Funérailles de Sara, nos funérailles, qui sont présentées aux Ateliers d’artistes de la Ville de Marseille en 2005, puis au musée d’Art et d’Histoire du judaïsme, lors de l’exposition Charlotte".

Projet de sculpture  (envahir, accumuler, tisser, entrelacer, lier, obstruer) 2007

Chambas mon opéra,1997 (projet pour l'Opéra de Toulouse).

"Certains ont dit, pour se moquer de moi, que j'étais un conceptuel. Ce n'est pas si faux. Je mets beaucoup plus de temps à penser un tableau qu'à le peindre. Chaque fois, c'est une enquête. Que ce soit Kafka, Lowry ou Rimbaud, je veux tout savoir d'eux. Pour tout oublier. J'ai besoin du sujet pour me l'approprier, et après je le tue. Le sujet, au fond, n'est qu'un prétexte à peindre. A la sortie, si c'est réussi, la peinture doit bouffer le sujet. C'est un combat. Voilà, c'est ça, mon boulot : d'abord une enquête, ensuite un combat." Jean-Paul Chambas